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Sous pression de toute part depuis qu'il a été écarté de l'OL, John Textor bientôt condamné à rembourser une dette de 94 millions de dollars ?
Sous pression de toute part depuis qu'il a été écarté de l'OL, John Textor bientôt condamné à rembourser une dette de 94 millions de dollars ?

L'Équipe

time9 hours ago

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Sous pression de toute part depuis qu'il a été écarté de l'OL, John Textor bientôt condamné à rembourser une dette de 94 millions de dollars ?

L'ex-président de l'OL John Textor s'est replié sur l'actif Botafogo, qu'il prétend vouloir racheter à Eagle. Mais la justice anglaise pourrait le rattraper. Loin des affaires lyonnaises, John Textor continue de nuire au club qu'il présidait encore il y a un mois, avec l'obligation d'acheter Matt Turner pour le prêter aussitôt. Sinon, l'homme d'affaires américain consacre désormais toute son énergie à Botafogo. Il a été contraint d'abandonner ses fonctions à l'OL après la rétrogradation administrative en Ligue 2 prononcée le 24 juin et a vendu ses participations dans Crystal Palace. Bouté hors d'Europe, il prétend désormais racheter à Eagle le club de Rio de Janeiro. Il aurait mandaté pour cela un cabinet chargé d'évaluer la valeur du vainqueur de la dernière Copa Libertadores, acheté en 2022 contre la promesse d'investissements de plus de 65 millions d'euros. « Ca me motive toujours quand on prétend que mon idée est folle » : Michele Kang, la nouvelle patronne de Lyon En conflit avec le fonds d'investissement Iconic depuis deux ans et demi Avec quel argent Textor pourrait-il mener à bien cette opération ? C'est un peu la question qui se pose au Brésil, où l'arrivée moyennant 22 millions d'euros de Danilo depuis Nottingham Forest soulève les mêmes interrogations qu'en France à propos des opérations réalisées entre Textor et Evangelos Marinakis, le propriétaire du club anglais. Jamais Botafogo n'avait dépensé autant pour recruter un joueur, et il reste le seul club du Championnat à ne pas avoir présenté ses comptes. Eagle Football Group prévoit un « résultat très fortement déficitaire » pour la saison écoulée de l'OL L'homme au chapeau, sous pression de toute part, aurait demandé auprès du Tribunal de Rio le « gel » des actions d'Ares au sein de la société anonyme Botafogo à hauteur de 23 millions d'euros. Une mesure défensive à l'encontre de son principal créancier à l'OL, afin de se prémunir de tout changement à la direction du club, et donc sauver sa tête. Mais Textor vit sous la menace d'un autre fonds d'investissements, avec lequel un conflit vieux de deux ans et demi pourrait trouver sa conclusion le mois prochain. Iconic veut récupérer les 94 millions de dollars (environ 82 M€) investis dans le rachat de l'OL, avec la perspective d'une SPAC destinée à l'introduction en bourse en commun avec Eagle. Opération qui n'a jamais eu lieu. Il y a quelques jours, le recours de Textor devant une cour de justice américaine a été rejeté, et c'est bien la justice britannique qui devrait trancher son litige avec Iconic. Et obliger ou non Textor à régler cette dette.

Samir Xaud, patron du foot brésilien, ciblé par une perquisition
Samir Xaud, patron du foot brésilien, ciblé par une perquisition

Le Figaro

time2 days ago

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Samir Xaud, patron du foot brésilien, ciblé par une perquisition

Samir Xaud, président de la Confédération brésilienne de football, a fait l'objet d'une perquisition dans le cadre d'une enquête de la police fédérale. Des policiers ont perquisitionné mercredi le siège de la Confédération brésilienne de football (CBF), dans une enquête touchant son nouveau président, Samir Xaud, mais non liée à ses fonctions de dirigeant sportif. La CBF a confirmé la perquisition dans un communiqué, tout en soulignant que «l'opération policière n'a aucun lien avec la CBF ou le football brésilien» et que «Samir Xaud n'est pas au centre des investigations». Les agents se sont rendus au siège de l'institution, à Rio de Janeiro, «entre 6h24 et 6h52, dans le cadre d'une enquête ordonnée par la justice électorale de Roraima», l'État amazonien du nord du Brésil dont M. Xaud est originaire, a précisé ce communiqué. «Aucun document ni équipement n'ont été saisis par les agents», a ajouté la CBF. Publicité Enquête «sur des soupçons de délits électoraux» La Police fédérale brésilienne (PF) a pour sa part annoncé avoir mené mercredi «dix perquisitions dans les États de Roraima et de Rio de Janeiro» dans le cadre d'une enquête «sur des soupçons de délits électoraux à Roraima». L'enquête a été ouverte «en septembre 2024, après la saisie de 500.000 reais (environ 77.000 euros) à la veille des élections municipales» d'octobre. La PF n'a pas précisé la raison pour laquelle le président de la CBF a été visé par l'opération de mercredi, qui ciblait également une députée de Roraima et son mari, selon la presse brésilienne. En septembre 2024, le mari en question avait été interpellé au moment de la saisie des 500.000 reais, à Boa Vista, capitale de Roraima. Une partie de la somme était cachée dans ses sous-vêtements. Samir Xaud «serein», indique la CBF Samir Xaud, médecin et entrepreneur de 41 ans, a accédé fin mai à la présidence de la CBF, après la destitution de son prédécesseur Ednaldo Rodrigues. Il est devenu patron du foot brésilien à la veille de la prise de fonction de l'Italien Carlo Ancelotti au poste de sélectionneur des quintuples champions du monde, alors que la CBF traversait une profonde crise institutionnelle. Son père, Zeca Xaud, a été président pendant plus de quarante ans de la fédération de football de Roraima, petit État qui n'a jamais vu un de ses clubs évoluer en première division nationale. «Le président Samir Xaud est serein et à disposition des autorités pour apporter tout éclaircissement nécessaire», a dit la CBF dans son communiqué.

« Quand on est entraîneur, c'est un nom très difficile à porter, je ne peux pas le nier » : le fardeau de Davide Ancelotti, le fils de Carlo
« Quand on est entraîneur, c'est un nom très difficile à porter, je ne peux pas le nier » : le fardeau de Davide Ancelotti, le fils de Carlo

L'Équipe

time4 days ago

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« Quand on est entraîneur, c'est un nom très difficile à porter, je ne peux pas le nier » : le fardeau de Davide Ancelotti, le fils de Carlo

Désormais entraîneur de Botafogo, Davide Ancelotti s'est confié sur la difficulté de répondre aux attentes alors que son père, Carlo Ancelotti, est considéré comme l'un des meilleurs coaches du 21e siècle. Après l'avoir secondé du Bayern Munich au Real, l'Italien est désormais dans la peau du numéro un. Bien qu'ils n'évoluent plus aux commandes de la même équipe, Carlo et Davide Ancelotti ne sont jamais bien loin. Après avoir été l'adjoint de son père au Bayern Munich, à Naples, Everton et au Real Madrid, le fils a laissé son père s'occuper de la sélection brésilienne en solitaire. Après l'avoir accompagné pendant deux matches sur le banc de la Seleçao, l'Italien de 36 ans a été nommé à la tête de Botafogo. Les Ancelotti sont sur le même sol, mais ça ne rend pas la tâche plus facile à Davide, bien au contraire selon les propos du jeune technicien à la Gazzetta dello Sport. Le natif de Parme s'est confié sur la difficulté de s'appeler Ancelotti, sans être Carlo. « Quand on est entraîneur, c'est très lourd à porter. Je ne peux pas le nier, a-t-il expliqué. Mais c'est aussi difficile pour Daniel de porter le nom Maldini, après que Paolo est devenu une légende. Et pour Paolo, ça a dû être difficile de commencer après Cesare... Je sais que je serai jugé, surtout au début, parce que je suis le "fils de Carlo". Je sais aussi que ce ne sera pas facile de surmonter les préjugés. Mais je ne connais qu'une seule méthode pour apprendre à nager : se jeter à la mer et bouger les bras et les jambes. » Davide Ancelotti : « Avec mon père et ce staff, j'ai eu le meilleur apprentissage possible »

Pourquoi le Brésil séduit de plus en plus les Français en juillet-août
Pourquoi le Brésil séduit de plus en plus les Français en juillet-août

Le Figaro

time22-07-2025

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Pourquoi le Brésil séduit de plus en plus les Français en juillet-août

DÉCRYPTAGE - +63 % de réservations ! Si le Brésil attire traditionnellement durant l'été austral, entre janvier et mars, il connaît depuis l'an passé un regain d'intérêt en juillet et août. Plages mythiques, atmosphère festive et climat agréable. Le Brésil attire traditionnellement en février pour le carnaval de Rio de Janeiro. Mais depuis quelque temps, il devient également un incontournable pour les vacances d'été des Français. Même si les saisons sont inversées, durant l'hiver austral en juillet et août, les températures restent clémentes, variant entre 22 et 27 °C. De quoi attirer des voyageurs à arpenter ce pays tropical, qui connaît cette année une hausse historique annuelle. Même en début d'année, jamais autant de touristes étrangers n'ont visité le Brésil : près de 4,9 millions entre janvier et mai 2025, progressant ainsi de 49,7 % sur un an, d'après la Embratur, l'Institut brésilien de promotion du tourisme à l'international. Comment expliquer cet engouement ? Publicité Surfer sans avoir froid Depuis son retour à Paris fin juin, Sarah rêve encore des couleurs éclatantes de Salvador de Bahia ou des après-midi sous le soleil d'Itacaré. «C'est la saison sèche dans la plupart des régions, donc on a pu se balader sans trop craindre la pluie», raconte cette auto-entrepreneuse de 37 ans. Partie trois semaines avec une amie, elle a eu un coup de cœur pour l'Atlantique. «J'ai pu surfer sans avoir froid, sans combinaison, dans une eau chaude, avec de belles vagues. Cela change de la France ou du Portugal», compare la passionnée de surf. Séjour de nos partenaires Service Contenus sponsorisés. Lorsque vous cliquez ou effectuez une réservation via nos liens partenaires, Le Figaro peut percevoir une commission. Séjour Brésil | 14 jours | Merveilles du Brésil 14 jours À partir de 2 320 € Voir l'offre Même ressenti pour Maxime, 26 ans. En voyage solo à travers l'Amérique latine, il a parcouru le Nordeste au début du mois. «Je savais que je passerais par le Brésil, mais j'avoue que les vidéos sur Instagram m'ont vraiment donné envie», confie ce Francilien passionné d'aventure. Sur TikTok comme sur Instagram, le hashtag «Brésil» dépasse cette année les trois millions de vues. De quoi inspirer les vacanciers à s'envoler vers l'État lusophone? Il y a de cela. L'année dernière, l'agence de voyage Marco Vasco (groupe Le Figaro, NDLR) constatait déjà une hausse de 60 % entre 2023 et 2024 sur la destination, une tendance qui se maintient cet été. «Nous voyons toujours autant de clients opter pour le Brésil, surtout pour des voyages de dernière minute. Cela concerne en majorité les familles ou les amateurs de sports comme la randonnée ou le kitesurf», déclare au Figaro Caroline Marro, directrice générale de Marco Vasco. Elle observe aussi un regain d'intérêt pour le Pantanal, réserve naturelle propice à l'observation d'animaux (jaguars, caïmans...). La période idéale pour s'y rendre s'étend d'avril à septembre, loin des pluies et des moustiques. «C'est en train de devenir une vraie alternative à l'Amazonie», note-t-elle. +63 % de réservations en juin par rapport à 2024 Le site de réservation Misterfly confirme également l'engouement. Depuis le 1er janvier, les réservations ont augmenté de 46%, et de 63% rien qu'en juin. «Rio, São Paulo, Salvador, Fortaleza ou Bahia figurent parmi les villes les plus recherchées, malgré une légère hausse du prix moyen des billets : 919 euros, contre 900 l'an dernier», développe Frédéric Pilloud, directeur marketing. Publicité Même dynamique chez Voyageurs du Monde, où le Brésil enregistre une hausse réelle, bien que plus modérée, de 24% en plus de clientèle s'envolant vers «l'éternel pays d'avenir» . «C'est un pays très dépaysant, avec seulement cinq heures de décalage horaire, et une vraie diversité : entre nature, culture, plages et villes festives, il y a de quoi satisfaire tous les profils de vacanciers», étaye Jean-François Rial, le PDG l'agence de voyages proposant une dizaine de circuits, des chutes grandioses d'Iguaçu aux plages de la Costa Verde. Les célèbres chutes d'Iguaçu, dans la forêt tropicale, à la frontière entre l'Argentine et le Brésil. Nido Huebl - Toutefois, malgré ce succès, les agences de voyages rappellent que l'Argentine reste la destination la plus plébiscitée en Amérique du Sud. En cause, une image du Brésil encore entachée par des questions de sécurité. «L'un des principaux défauts du pays reste la perception de l'insécurité. Les voyageurs doivent faire preuve de vigilance, éviter les comportements à risque, et ne pas s'aventurer dans les favelas avec des objets de valeur et se renseigner en amont sur les quartiers à éviter», tempère Jean-François Rial. En février 2024, des touristes ont notamment perdu la vie après avoir suivi leur GPS jusque dans des quartiers dangereux contrôlés par des gangs. Un contexte qui n'a pas effrayé Adélaïde et sa famille, venus visiter le Brésil en juin pour une tout autre raison. «La vérité, c'est que j'ai demandé à mes fils de choisir la destination, et ils ont choisi Rio pour le foot. Nous avons adoré», raconte cette mère de famille lyonnaise de 45 ans. L'ascension touristique du pays de Pelé ne risque sûrement pas de s'arrêter. Le Brésil s'impose désormais comme une échappée tropicale très convoitée… en plein été européen. En vidéo - Brésil : les images flamboyantes des carnavals de Rio de Janeiro et de São Paulo.

Divorce avec Eagle  : John Textor s'accroche et aurait un plan pour garder la main à Botafogo et Moleenbek
Divorce avec Eagle  : John Textor s'accroche et aurait un plan pour garder la main à Botafogo et Moleenbek

L'Équipe

time19-07-2025

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Divorce avec Eagle : John Textor s'accroche et aurait un plan pour garder la main à Botafogo et Moleenbek

Alors que les nouveaux patrons d'Eagle Football Holding essayent d'évincer John Textor, l'homme d'affaires s'accroche et tenterait de refonder une multipropriété comprenant Botafogo et Moleenbek, mais plus l'OL. La guerre est vraiment déclarée entre John Textor et ses créanciers : ces dernières heures, les nouveaux patrons d'Eagle Football Holding, la structure financière qui chapeaute Eagle Group (Ex OL Groupe) auraient tenté d'évincer l'homme d'affaires américain de Botafogo, comme l'a révélé Globo esporte. Sans succès, pour le moment, entre autres parce que Textor bénéficierait encore de nombreux soutiens au sein du club de Rio de Janeiro, notamment au sein de l'association, qui doit approuver ce type de changement à la tête du club. Mais la rupture paraît consommée. John Textor, qui estime l'OL plus redevable financièrement envers le vainqueur de la Copa Libertadores que l'inverse, aurait désormais l'intention de créer une nouvelle société, basée aux îles Caïmans. Dans le but de refonder une multipropriété comprenant Botafogo et Moleenbek, mais plus l'OL. Sur les réseaux sociaux, il a salué vendredi le recrutement par Botafogo du milieu Danilo, un temps destiné à l'OL, en se félicitant de pouvoir acheter « sans menottes. Quel plaisir de diriger un club sans interférence d'un agenda politique ». Danilo vient de Nottingham Forest, le club appartenant à Evangelos Marinakis (également propriétaire d'Olympiakos et de Rio Ave), avec qui John Textor a déjà effectué plusieurs opérations intrigantes en tant que président de l'OL, comme l'achat de Moussa Niakhaté pour 32 millions d'euros l'été dernier. Pas sûr que cette dernière transaction aide à une séparation en douceur, puisque le divorce entre l'OL (Michele Kang et le fonds d'investissement ARES) et John Textor, est acté. À quelles conditions ? À ce rythme, ce sont peut-être les tribunaux qui en décideront.

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